Geotechnical News - June 2011 - page 8

8 Geotechnical News June 2011
CGS NEWS
Vous aurez donc vu notre nouveau site
web, qui est en grande partie grace
aux efforts de Wayne Gibson et notre
ancien VP, Communications, Mme
Stephanie Perrett. Nous espérons
que vous trouverez qu’il est plus
efficace que le site précédent. Si vous
avez des commentaires, s’il vous
plaît communiqué avec notre vice-
président, Communications, Dr. Jean-
Marie Konrad.
Dans le cadre de nos responsabili-
tés sur le CE CGS, nous représentons
également le CGS sur d’autres associa-
tions canadiennes techniques à de nou-
velles communications entre ces asso-
ciations. Notre VP, Technique, Dr. John
Sobkowicz, nous représente au sein du
conseil de la Fédération canadienne
des Sciences de la terre. Mme Marcia
MacLellan, notre Représentante des
Sections Locales, va nous représenter
au conseil d’administration de la So-
ciété Canadienne d’Ingénieurs Civils.
L’organisation faîtière des sociétés
d’ingénierie au Canada est l’Institut
Canadienne des Ingénieurs (ICI) qui
aura son 125e anniversaire cette année.
Je représente la CGS au sein du conseil
EIC.
J’ai eu le plaisir d’assister à mon
premier Gala des prix du CPN en tant
que président à Ottawa, le March5,
2011. Je me suis assis à une table avec
le Dr Liam Finn, qui a remporté la K.Y.
Lo médaille. Ce fut particulièrement
gratifiant parce que le Dr K.Y. Lo et son
fils ont été également à la même table.
Notre Dr Wayne Savigny de BGC En-
gineering et le Dr Jean Hutchinson de
l’Université Queen’s ont été élus Fel-
lows de l’ICI. Un éminent ingénieur
géotechnique Canadien, Dr. Graham
Morgan, a également été élu Fellow de
l’EIC à travers son affiliation avec la
Canadian Society of Senior Engineers.
J’ai été intéressé d’apprendre que le Dr
Morgan a commencé sa carrière avec
Geocon en Ontario dans les années
1950 comme beaucoup d’autres ingé-
nieurs en géotechnique de l’époque.
Notre lauréat du Prix 1986 Leggett,
M. Fred Matich, a commencé Geocon
dans les années 1950.
Les prix EIC sont parmi les hon-
neurs d’ingénierie les plus presti-
gieux au Canada. Le CGS promeut
activement ses membres pour les prix
EIC grâce à sa participation à l’EIC.
L’IEEE Canada, également membre de
l’EIC, a plus de 15,000 membres alors
que la CGS a 1,200 membres. Bien que
beaucoup plus petits que beaucoup de
sociétés d’autres constituants de l’EIC,
la CGS a représenté ses membres ainsi
au fil des décennies. N’oubliez pas de
nommer vos collègues méritants pour
ces prix EIC!
En revenant du EIC Gala des prix, je
me suis intéressé à combien ingénieurs
en géotechnique canadienne avait reçu
l’Ordre du Canada, le prix de service
le plus prestigieux de notre pays. Parmi
ceux qui ont reçu l’Ordre du Canada
en aucun ordre particulier sont : Dr.
Robert Leggett (d.), Dr. G.G. Meye-
rhoff (d.), Dr. Robert Hardy (d.), Dr.
Jack Clark (d.), Dr. Del Fredlund, Dr.
Norbert Morgenstern, Dr. Jack Mollard
et M. Hector Jacques. Que tant d’ingé-
nieurs géotechniques ont remporté ce
prix prestigieux est emblématique de
nos fiers traditions CGS et le rôle im-
portant de la géotechnique au Canada.
Le CGS sera parrainé trois confé-
rences importantes en 2011. Au mo-
ment de la publication, la première
conférence, 5th Canadian Conference
on Geotechnique and Natural Hazards
aura déjà eu lieu a Kelowna. La pro-
chaine est la ������ ���������� �������Slope Stability Confer-
ence en Septembre à Vancouver. Une
de mes collègues d’université, Dr.
John Simmons qui a fait son doctorat à
l’Université d’Alberta dans les années
1970, va faire le trek de Queensland
pour présenter un document. Cela met
en évidence le double objectif de nos
conférences; la diffusion des dernières
avancées techniques et le renouvel-
lement de l’amitié et la collaboration
technique. À la suite de ca sera la
Conférence PanAm-CGS à Toronto,
possiblement la conférence la plus im-
portante parrainée par le CGS dans les
deux dernières décennies. Notre comité
organisateur travaille fort et s’attend à
un succès de la Conférence. Même si,
cette conférence sera l’occasion de
faire valoir les capacités canadiennes
en géotechnique. Si vous choisissez
parmi les conférences internationales
Bank and its affiliates were original ad-
dressees thereof; provided, however,
that U. S. Bank and its affiliates shall be
deemed not to be subject to or bound by
any of the obligations of any original
addressee or owner of the Property in
any agreement related to the Report....”
In essence, this wording would require
environmental professionals to commit
risk management suicide. It gives the
Bank all the benefits of being able to
rely on the report (plus a potential es-
cape from the constraints of the eco-
nomic loss doctrine) with absolutely
none of the liabilities or responsibilities
that comprised the business context
through which the report was devel-
oped. In a best-practices scenario – the
type of scenario to which, I presume,
the Bank subscribes – the client selects
a particularly qualified consultant, dis-
cusses its needs with the consultant, and
then works with the consultant to mutu-
ally establish a scope of service for the
engagement. The consultant and client
then discuss the consideration the con-
sultant needs to fulfill the scope of ser-
vice and manage the risk associated
with potentially lifelong responsibility
for the deliverable. Such consideration
includes the fee and certain risk man-
agement provisions of the contract,
such as limitation of liability.
By requiring a consultant to prepare
and sign its form letter, the Bank is stat-
ing, in essence, “We want to be able to
rely on the report indefinitely (and even
if we do not issue the financing, by the
way) without having to accept any of
your contractual safeguards, without
having to compensate you for any of
your customary, anticipated risks, and
without having to compensate you for
your new, significantly expanded risks,
especially the new risk that arises be-
cause you designed your service for
some other party, and with no knowl-
edge of the Bank’s needs and prefer-
ences, and no knowledge of the service
scope the Bank believes is best-suited to
address those needs and preferences.”
To a very real extent, Mr. Grundhofer,
this is like requiring a physician to be li-
able for your health after you decide to
follow the course of treatment the phy-
sician prescribed for your friend whose
illness (in your opinion) was kind of
like your own.
Geotechnical News, September 2005 19
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