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Geotechnical News • December 2013
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CANADIAN GEOTECHNICAL SOCIETY NEWS
la conférence du Colloque de la SCG,
durant la dernière session matinale de
la conférence. Les gagnants du
Prix
de la SCG pour étudi
ants du pre-
mier cycle
étaient
Steven Harms
, de
l’Université du Manitoba (prix indivi-
duel) et
Gary Cui, Jessica Galavan,
Duncan Leung
et
Matthew Lloyd
,
de l’Université Queen’s (prix collec-
tif). Nous félicitons tous les gagnants.
Enfin, le récipiendaire de la
Bourse
nationale pour études supérieures
2013 de la Fondation géotechnique
canadienne
était
Bryan Tatone
, de
l’Université de Toronto.
Le résumé des gagnants de tous
les prix et distinctions qui ont été
décernés durant les événements de la
SCG pendant la conférence GéoMon-
tréal se trouve plus loin dans cette
section des actualités de la Société
canadienne de géotechnique.
La conférence annuelle de la SCG
a été immédiatement suivie de la
4
e
conférence canadienne des jeunes
géotechniciens et
géoscientifiques
(ou cYGEGC), à Mont-Tremblant.
J’ai
tout particulièrement apprécié la visite
guidée de la centrale hydroélectrique
de Beauharnois, qui permettait de
connaître les travaux géotechniques
qui lui ont été associés. La visite
avait lieu avant le départ pour Mont-
Tremblant. Les 30 délégués de cette
conférence étaient tous âgés de moins
de 35 ans. Le comité organisateur,
qui était dirigé par
Ariane Locat
(Laval) et
Matt Perras
(Queen’s),
m’a aimablement permis de présenter
un exposé sur le passé, le présent et
l’avenir de la Société canadienne de
géotechnique. Cela m’a donné non
seulement donné l’occasion de parler
de notre Société, dont la fondation
remonte à 1972, mais aussi d’établir
des liens entre diverses réalisations
importantes du domaine géotechnique
canadien et notre Société et certains
de ses membres célèbres.
Angela
Küpper
(vice-présidente technique de
la SCG),
Lukas Arenson
(président
de la Division de la géotechnique des
régions froides),
André Rancourt
(vice-président à Hydrosys) et
Jocelyn
Grozic
(Université de Calgary) ont
également présenté des conférences
décrivant leurs carrières dans
l’industrie ou le milieu universitaire,
et les leçons qu’ils en ont tirées. Les
jeunes délégués nous ont également
donné des pistes utiles pour susciter
une plus grande participation de nos
jeunes membres étudiants, pendant
leurs études de premier cycle et après
l’obtention de leur diplôme.
L’un des autres événements remar-
quables de cette conférence était la
présentation du 50
e
anniversaire de
la
Revue canadienne de géotech-
nique
par
Ian Moore
, rédacteur en
chef actuel, et
Dennis Becker
, ancien
rédacteur en chef. J’ai aussi eu le
plaisir de rappeler aux membres de
la SCG que notre revue jouit d’une
excellente réputation internationale et
figure systématiquement au palmarès
des « géorevues » compilés par les
organismes de classement des revues
savantes à comité de lecture.
En plus des réunions annuelles des
divisions et des comités de la SCG,
deux réunions ponctuelles ont eu
lieu. Je présidais la première de ces
réunions, à laquelle participaient des
membres de l’exécutif de la SCG, les
rédacteurs précédents de la 4
e
édi-
tion du CFEM et d’autres personnes
intéressées. Nous avons échangé des
idées sur la portée, les objectifs et la
réalisation d’une 5
e
édition. Le groupe
a convenu d’envoyer un sondage élec-
tronique à tous les membres de la SCG
pour obtenir leurs idées sur cette mise
à jour très importante du CFEM.
La deuxième réunion était présidée
par
Angela Küpper,
notre vice-
présidente technique. Elle portait
sur de futurs programmes visant à
augmenter la visibilité de la Société
et la participation de nos jeunes
membres. Le
rapport du Groupe
de travail spécial sur les adhésions
(2011),
qu’on peut consulter dans le
site Web de la SCG, a servi de point
de départ à cette discussion. Angela a
présenté de nombreuses idées, notam-
ment des subventions qu’accorderait
la SCG pour permettre à davantage
d’étudiants de participer à notre
conférence annuelle, un programme
de mentorat étudiant/membre de la
SCG lors de la conférence annuelle,
et le financement d’un programme
de placement d’universitaires dans
des cabinets d’experts-conseils pour
que les données historiques d’études
de cas archivées dans plusieurs de
ces cabinets puissent être mises à la
disposition de jeunes universitaires,
qui pourraient les utiliser dans le cadre