Canadian Conference on Geotechnique and Natural Hazards
 
 
 
 

Welcome!

Bienvenue!

On behalf of the Canadian Geotechnical Society and the Kingston Section, we welcome you to Queen’s University in Kingston, Ontario, and to the 6th Canadian Geohazards Conference, also known as GeoHazards 6.  This two-day conference includes 5 keynote presentations, 40 oral presentations, a poster session, two days of courses and workshops.

In planning the program for GeoHazards 6, we worked hard to include interesting and relevant case-histories of recent geohazard events, without neglecting work related to the future, and the potential impacts of geohazards on industrial and residential development, and on transportation and energy corridors. The program is not focused on ‘risk’ explicitly, but since it isn’t possible to consider geohazards without also considering the people and property that could be affected by them, risk is certainly an important component of every paper presented this week. 

We hope that scientists, engineers, regulators, industry, and – most importantly – the people of Canada and other countries, will benefit from the aggregation and dissemination of experience and knowledge that the proceedings of GeoHazards 6 represents. With continued pressure to place more people and property into wild, remote places, and the changing character of both the triggers for geohazards, and their consequences, the sharing of the state of the art and practice in geohazards will become even more critical.

Dr. Dave Gauthier
Conference Chair

Au nom de la Société canadienne de géotechnique et de la section de Kingston, nous vous accueillons à l’Université Queen’s, à Kingston, en Ontario, et à la 6e conférence canadienne sur les géorisques, aussi appelée GéoRisques 6. Cette conférence de deux jours comprend cinq conférences prononcées par des invités d’honneur, 40 présentations orales, une présentation par affiches, en plus de deux autres journées de cours et d’ateliers.

Lorsque nous avons planifié le programme de GéoRisques 6, nous nous sommes efforcés d’inclure des cas concrets pertinents et intéressants de récents événements présentant un géorisque, sans négliger le travail lié à l’avenir et les effets potentiels des géorisques sur le développement industriel et résidentiel, ainsi que sur les corridors de transport et les couloirs de transport de l’énergie. Le programme n’est pas explicitement axé sur le « risque », mais comme il est impossible de traiter des géorisques sans considérer les personnes et les propriétés pouvant être touchées par ceux-ci, le risque est certainement un élément important de chaque article présenté pendant cette semaine.

Nous espérons que les scientifiques, les ingénieurs, les responsables de la réglementation, les représentants de l’industrie et, surtout, les citoyennes du Canada et d’autres pays, profiteront du regroupement et de la diffusion de l’expérience et des connaissances que les actes de la conférence GéoRisques 6 représentent. Compte tenu de la pression soutenue sur l’établissement de plus en plus de gens et de propriétés dans des endroits éloignés et sauvages, et de la nature changeante des facteurs déclencheurs des géorisques et de leurs conséquences, la communication des technologies et des pratiques en matière de géorisques deviendra encore plus essentielle.

Dave Gauthier, Ph. D.
Président de la conférence

 


 

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