Geotechnical News - March 2017 - page 14

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Geotechnical News • March 2017
CANADIAN GEOTECHNICAL SOCIETY NEWS
those who are not fluent in English.
Francophone members should be
given opportunities and be encouraged
to communicate their research and
practice in French.
The CGS enjoys a great international
reputation thanks in large part to our
high caliber scientific publications.
Even though we need to continue to
count on University research commu-
nications, I intend to promote further
participation from our exceptionally
strong geo-professionals in practice.
Sharing our successes and challenges,
learning from each other with short
papers on case histories will help raise
our standard of practice and make
our industry stronger. For elaborate
projects, consultants, contractors and
owners should “team-up” with our
young academics who have expertise
in publishing comprehensive analysis
but are hungry for data and practical
applications. If elected, I would use
my experience on collaborative R&D
to develop a framework which could
simplify and encourage partnership
between the industry and academics.
Our founders created the Canadian
Geotechnical Society 70 years ago and
generations of passionate volunteers
worked hard to develop it into one of
the best learned society in the world. I
am thankful towards our predecessors
who have invested their time on past
Executive Committees for leaving us
such great heritage. I strongly believe
in this Society. If elected, I will do
my share and lead a passionate team
to work from its solid foundations to
develop it for the future and ensure a
great legacy for our successors.
Submitted by Mario Ruel,
Nominated CGS President-Elect,
2019-2020
Objectifs comme Président élu:
Déclaration de mise en
nomination de Mario Ruel
Je suis un fervent partisan de la
Société Canadienne de Géotechnique
(SCG) et c’est un honneur pour moi
d’avoir été choisi par le Comité de
nomination de la SCG pour le poste
de président élu en 2018. C’est avec
fierté que j’accepte cette nomination.
Si je suis élu, c’est avec plaisir que je
servirai notre société comme président
pour un mandat de deux ans à compter
de janvier 2019.
Depuis plus de 35 ans, je pratique la
géotechnique dans des milieux franco-
phones et anglophones sur l’ensemble
du territoire canadien ainsi qu’aux
États-Unis. Après l’obtention de mon
diplôme en 1981 en génie géologique
à l’École Polytechnique de Montréal,
j’ai débuté ma carrière dans l’Ouest
canadien. J’ai également complété une
maîtrise en ingénierie géotechnique
à l’Université d’Alberta en 1988. Tel
que décrit par Dr Aubertin dans le
texte précédent, le développement
et le transfert des connaissances en
géosciences ont toujours été au centre
de mes préoccupations. C’est avec
enthousiasme que je me suis impliqué
dans diverses associations scienti-
fiques tout au long de ma carrière.
Les problèmes liés aux glissements de
terrain me passionnent particulière-
ment et je m’efforce d’appliquer notre
géo-expertise unique afin d’améliorer
la gestion des risques géonaturels. À
cette fin, j’ai contribué à la rédaction
des lignes directrices du «Canadian
Technical Guidelines on Landslides» et
je participe activement à l’élaboration
de manuels et de cours sur la géotech-
nique. Je me suis aussi intéressé à la
recherche appliquée en géotechnique
en tant que cofondateur et ancien pré-
sident du programme de recherche sur
les géorisques ferroviaires (RGHRP).
Cet organisme est un partenariat
unique qui combine les efforts de
l’industrie ferroviaire, des universités
et du gouvernement canadien. Enfin,
je suis fier d’avoir contribué au succès
de la SCG en tant que coprésident de
la conférence annuelle GÉO-Montréal
2013 et, aussi, comme président du
comité sur la géotechnique des trans-
ports (TGC). J’ai été heureux d’avoir
reçu le prix A. G. Stermac en 2014.
La SCG a toujours été une organisa-
tion bien gérée, techniquement solide
et financièrement saine. Notre Société
est en constante progression comme le
démontrent, entre autres, les récentes
améliorations apportées à notre site
Web, au réseau d’information géo-
technique de la SCG (ENews), ainsi
que plusieurs manuels. Tout en nous
appuyant sur ces fondations solides,
nous devrons continuellement cher-
cher à nous améliorer à un rythme
encore plus rapide afin de mieux servir
nos membres et de nous adapter à
leurs demandes en constante évolu-
tion.
Je crois qu’une participation accrue
de jeunes ingénieurs et géoscienti-
fiques dans nos rangs nous aiderait à
relever ce défi. Bien que la contribu-
tion des étudiants soit déjà fortement
encouragée à la SCG, nous devons
également stimuler l’implication des
jeunes professionnels en début de
carrière. J’aimerais leur prouver que
notre Société est une organisation
dynamique et inclusive qui a besoin de
« sang neuf ». Elle doit donc accueillir
de nouveaux membres à bras ouverts.
Je me souviens de ma première con-
férence annuelle de la SCG. J’étais
intimidé par ce grand rassemblement
de professionnels seniors jusqu’à ce
que l’un deux prenne le temps de
me décrire un peu sa carrière et de
s’intéresser à mon cheminement pro-
fessionnel. Après m’avoir présenté au
groupe assis à notre table, il m’a invité
à une réunion d’un comité. J’ai vrai-
ment eu l’impression d’avoir ma place
à la SCG, de faire partie de l’équipe.
Je crois que nous devrions faire de
même avec nos nouveaux membres:
invitons-les à assister aux réunions
techniques et offrons-leur des rôles de
leadership au sein de la Société. Cela
sera bénéfique autant pour leur car-
rière que pour l’avenir de la SCG.
Des études récentes ont confirmé
que les géosciences sont parmi les
spécialités qui attirent la plus grande
proportion de femmes au Canada
(~ 40% contre ~ 20% dans d’autres
programmes en ingénierie). Le nom-
bre croissant de géoprofessionnelles
rejoignant nos rangs est encourageant
et je suis particulièrement ravi de
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