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Geotechnical News March 2011
CGS NEWS
en 2013 et 2014. Dr. Bathurst a accepté
cette candidature. Dans les paragraphes
qui suivent, il présente une courte dé-
claration donnant un bref aperçu de ses
objectifs pour la Société.
Dr. Bathurst étant le candidat propo-
sé par le comité de nomination, d’autres
candidats sont naturellement les bi-
envenus. Tout membre de la Société
peut présenter un candidat au poste de
Président élu. Les nominations doivent
être soumises au secrétariat de la SCG
par écrit et ce, avant le 15 juin 2011.
Conformément aux statuts de la Socié-
té, toute nomination doit être appuyée
par une lettre de soutien d’au moins 18
membres et une déclaration exprimant
son consentement à agir comme Prési-
dent doit être rédigée par le candidat.
Pour plus d’informations, vous pouvez
consulter le manuel d’administration.
Si aucune autre candidature n’est
soumise, Dr. Bathurst sera élu par ac-
clamation lors de la réunion du conseil
d’administration de la SCG, à Toronto.
Si d’autres candidats sont proposés, la
sélection sera effectuée au moyen d’un
vote par correspondance et/ou d’un
vote électronique, soumis à tous les
membres de la Société. La soumission
des votes devra se faire au plus tard à
minuit le 15 juillet 2011.
(Préparé par Victor Sowa, Secrétaire
général; vérifié par le Vice-président,
communications)
Objectifs du président désigné:
Déclaration de nomination de
Richard J. Bathurst
Je suis honoré d’avoir été sélectionné
par le comité de nomination de la
Société canadienne de géotechnique
(SCG) à titre de président désigné de
la Société en 2012. J’accepte cette
nomination et, si je suis élu, je me
réjouirai de pouvoir être au service de
la Société pour un mandat de président
d’une durée de deux années à compter
de janvier 2013.
Je suis membre de la Société cana-
dienne de géotechnique depuis plus
de 30 ans et j’y participe activement.
J’ai été, entre autres, vice-président
technique (2000-2002), président de la
Division de la géosynthétique (1998-
2000) et rédacteur du chapitre sur la
géosynthétique des 3
e
et 4
e
éditions
du
Manuel canadien d’ingénierie des
fondations
. J’ai reçu le prix A.G. Ster-
mac de la SCG à trois reprises, pour les
services que j’ai rendus à la Société,
et le prix de la Division de la géosyn-
thétique de la SCG en 2002. De plus,
j’ai siégé au comité d’organisation de
l’une des conférences annuelles de la
SCG, au Conseil de recherche géotech-
nique de la SCG. Je fais présentement
partie du groupe de travail spécial sur
les adhésions à la SCG. J’ai donné des
cours intensifs d’une journée sur la
géosynthétique lors des trois dernières
conférences annuelles de la SCG. Voi-
ci des exemples de mon bénévolat au
sein d’autres sociétés savantes : j’ai
été vice-président, puis président, de
l’International Geosynthetics Society
(IGS) (1998-2002); président de la
North American Geosynthetics Society
(NAGS) (1997-1998); rédacteur de la
revue IGS News (1990-1994); et tréso-
rier de l’ICI (2003-2005).
J’ai débuté ma carrière profession-
nelle en tant qu’ingénieur géotech-
nique chez Golder Associates pendant
trois ans. J’ai déménagé par la suite au
Collège militaire royal (CMR) en 1980
pour y enseigner, ainsi que faire mon
doctorat en mécanique des sols à l’Uni-
versité Queen (1985). À l’heure ac-
tuelle, je suis professeur de génie civil
au CMR et suis conjointement nommé
au rang de professeur à Queen’s, où je
suis membre du Centre géotechnique
de l’Université Queen et du CMR. Du-
rant ma carrière universitaire, mes re-
cherches ont principalement porté sur
les technologies de renforcement du
sol. Je suis actuellement le rédacteur de
la revue Geosynthetics International et
siège au comité de rédaction de quatre
autres revues.
J’ai été récipiendaire du prix R.M.
Quigley décerné par la SCG pour le
meilleur article publié dans la Revue
de géotechnique canadienne à trois
reprises et au deuxième rang pour ce
prix une fois. J’ai également obtenu la
Médaille Casimir Gzowski de la Socié-
té canadienne de génie civil, attribuée
pour le meilleur article en génie civil
à deux reprises et également au deu-
xième rang pour cette médaille une fois.
J’ai été invité à titre de conférencier
d’honneur ou de conférencier spécia-
liste plus de 20 fois et ai prononcé des
conférences dans le cadre de la Tour-
née de conférences pancanadiennes de
la SCG en 2003. J’ai été élu membre
de l’Institut canadien des ingénieurs en
2001 et de l’Académie canadienne du
génie. Même si mes activités profes-
sionnelles se déroulent principalement
dans le milieu universitaire, je continue
à travailler avec mes collègues œuvrant
dans l’industrie, comme consultant et
comme propriétaire d’une petite entre-
prise offrant des services spécialisés de
tests en laboratoire.
Je crois que mes contributions à
titre bénévole à la SCG, à l’IGS et à
la NAGS m’ont donné une précieuse
expérience pour être à la tête de notre
Société pour la période allant de 2013
à 2014. Heureusement pour le prochain
président désigné, il y a tout lieu de
croire que la SCG continuera d’être
une société dynamique et active, dotée
d’une bonne position financière. Néan-
moins, il y a des défis à relever. Le
niveau d’activité des diverses divisions
de la SCG a été inégal dans le passé;
il faut que cette question soit exami-
née de près par les membres du comité
exécutif de la SCG et qu’on étudie des
stratégies pour redorer le blason de cer-
taines de ces divisions. En tant que pré-
sident du groupe de travail spécial sur
les adhésions, il me semble évident que
nous ne devons pas être trop confiants
en nos activité pour encourager et inci-
ter les diplômés récents en génie à par-
ticiper à notre Société. De nombreuses
sections locales encouragent les étu-
diants au moyen de séminaires et de
présentations d’articles rédigés par des
étudiants, et la SCG reconnaît ces étu-
diants en leur décernant des prix lors de
sa conférence annuelle. Toutefois, il y a
souvent des lacunes en matière de sen-
sibilisation à la SCG lorsque ces jeunes
personnes font leur entrée dans l’indus-
trie. Notre Société doit mieux retenir
leur attention. Pour y parvenir, l’une
des stratégies est de demander aux
ingénieurs plus âgés travaillant dans
les mêmes entreprises d’encourager
ces jeunes personnes à participer aux
activités locales de la Société et de pro-
mouvoir notre discipline, grâce à des
adhésions ainsi que des abonnements à